L’ASSOCIATION des anciens stagiaires gabonais de la Jica (AASGJ) était réunie en assemblée générale le 1er avril à l’auditorium du ministère des Eaux et Forêts. Elle entendait renouveler le bureau directeur de son mouvement associatif aux commandes depuis plus de 5 ans en totale violation des statuts. L’ordre du jour prévoyait ainsi entre autres, le bilan du bureau sortant, des discussions et surtout l’élection des membres dudit nouveau bureau. Sauf qu’il n’y avait visiblement aucune équipe préparée à succéder à Ponce Kibat Mwangala et les membres de son bureau. Si l’on s’en tient du moins à l’absence d’un candidat déclaré.
Alors pour éviter de s’être rassemblé pour rien, d’autant que des coopérants japonais assistaient à l’assemblée générale, que nombreux avaient laissé en plan leurs activités pour se rendre disponibles et prendre part à cette rencontre, une série de propositions a été faite par les participants. Entre ceux qui demandaient de reporter l’assemblée générale à dans un mois et les autres, la suggestion retenue a été de mettre sur pied un comité de normalisation.
Présidé par Pascal Benga Tonangoye, le comité de normalisation assurera les affaires courantes, le temps de permettre que les membres de la future équipe directrice se connaissent et organisent les élections. Aussitôt installé, le président du comité de normalisation de l’AASGJ a convié chacun à manifester d’avantage de volonté à faire et continuer de travailler pour mériter les accompagnements de l’agence japonaise de coopération internationale (Jica).
Par Line R. ALOMO
Libreville/Gabon