La vente de terrains aux étrangers est un sujet qui n'a pas fini de créer la polémique. Comme dans tout débat, il y a ceux qui sont pour une interdiction ferme et d'autres qui sont forcément contre une telle décision.
Peu importe le camp dans lequel on se place, un durcissement des lois liées au foncier est nécessaire. Personne ne peut oublier les hectares cédés aux ressortissants étrangers et les dérives dont certains se sont rendus coupables.
Faut-il encore revenir sur le traumatisme causé par la destruction du Centre préscolaire de Lalala ? Faut-il encore évoquer le fait que le CTRI ait été obligé d'y ériger une école du Prytanée ?
D'ailleurs, la sous-commission "Bien-être social" du Dialogue national inclusif a préconisé l'in terdiction de vente de terrain aux étrangers et l'emprisonnement des Gabonais qui outrepasse raient cette mesure.
Bien que d'apparence sévère, il faut sans doute la rattacher au rapport à l'étranger qui est une donnée problématique.
Nombreux sont ceux qui ont relevé le fait que les propriétaires de terrain préfèrent les céder à ceux venant d'autres horizons qu'à des nationaux.
Est-ce à cause de leurs fonds illimités ou un peu de jalousie en vers leurs compatriotes comme avancent certains observateurs ? Difficile de le savoir avec exac titude.
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S.A.M.
Libreville/Gabon