Les récentes sorties des conseils de l'ancien chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, n'en finissent plus de susciter des réactions.
Après la Porte parole du gouvernement, c'est le garde des Sceaux, Paul-Marie Gondjout qui, dernièrement, chez nos confrères de Gabon 1re, s'en est offusqué en dénonçant une tentative désespérée "d'instrumentalisation de la justice française visant à jeter l'opprobre sur le Gabon".
"Ali Bongo Ondimba et ses proches ne sont pas victimes de séquestration et n'ont subi aucun acte de torture", a-t-il indiqué.
En pointant du doigt au passage la légèreté des avocats du président déchu qui ont fait état "de la grève de la faim observée par Ali Bongo Ondimba et deux de ses fils au motif qu'ils seraient victimes de traitement inhumain".
Des "véritables allégations", selon lui. D'autant que, a-t-il précisé, toutes les dispositions ont été prises par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI) et le gouvernement afin de préserver l'intégrité de l'ex numéro un gabonais et de ses proches.
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J.K.M
Libreville/Gabon