Enseignants, chercheurs, cliniciens, membres des organisations de la société civile, etc., étaient réunis pour poursuivre leur engagement et réfléchir à l'adoption de bonnes pratiques.
Plus qu'un problème de santé publique, la problématique du paludisme reste toujours d'actualité. Les femmes enceintes et les enfants en bas âge en paient régulièrement un lourd tribut.
Dans la continuité de la journée mondiale de lutte contre le paludisme commémorée le 25 avril de chaque année, une réunion scientifique s'est tenue hier au siège de la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG), en présence notamment du directeur général, Bernard Gervais de Souza, et de la directrice générale de la santé, le Dr Marie Anne Antchouey Ambourhouet. Enseignants, chercheurs, cliniciens, membres des organisations de la société civile, etc., étaient donc réunis pour poursuivre leur engagement dans la lutte contre cette maladie mortelle et réfléchir à l'adoption de bonnes pratiques.
" C'est la première cause de mortalité chez la femme enceinte et les enfants de moins de 5 ans. La lutte contre cette maladie ne saurait être gagnée par le seul ministère de la Santé. C'est l'occasion pour nous d'interpeller tous les acteurs. Car, ce combat exige un engagement citoyen et des interventions à tous les niveaux. C'est ensemble qu'on peut gagner la lutte", a fait savoir le Dr Antchouey Ambourhouet.
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