Menacés, depuis bientôt trois mois, de licenciement par la direction générale pour cette fin mars, une cinquantaine d'agents de la Société meunière et avicole du Gabon (SMAG) n'en finissent pas d'exprimer leur mécontentement.
UNE tempête semble souffler, depuis quelques semaines, au sein de la Société meunière et avicole du Gabon (SMAG), spécialisée dans la production de la farine, d'aliments de bétail, d’œufs et de poussins. A l'origine, la décision prise par la direction générale de licencier, " pour des raisons économiques", cinquante-sept agents. Une décision rendue publique par une note datant de trois mois. Et qui prendrait effet cette fin mars. Ainsi, plus on se rapproche de l'échéance, plus la tension est vive entre les deux parties.
Pour tout dire, le personnel concerné qui comprend non seulement des agents de maîtrise mais aussi des agents d'exploitation et des cadres, se dit surpris. D'autant que l'entreprise se porterait bien au regard des bons résultats engrangés, l'année dernière, avec l'amélioration du chiffre d'affaires à hauteur de 3,3% correspondant à un montant de 16,9 milliards neuf cent millions de francs au premier semestre.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon