DANS le cadre de la continuité de ses travaux, le comité de suivi national du programme régional de conservation et de valorisation des écosystèmes fragilisés d'Afrique centrale (Ecofac 6) s'est réuni l'autre jeudi à Libreville
DANS le cadre de la continuité de ses travaux, le comité de suivi national du programme régional de conservation et de valorisation des écosystèmes fragilisés d'Afrique centrale (Ecofac 6) s'est réuni l'autre jeudi à Libreville.
Cette réunion de travail s'est déroulée en présence du ministre des Eaux et Forêts, Lee White, de sa collègue de l'Economie, Nicole Janine Lydie Roboty-Mbou, le secrétaire exécutif de l'ANPN, Christian Tchimanbela, de l'ambassadrice de l’Union européene, Rosario Bento Pais, et de la commissaire en charge de l’aménagement du territoire et aux infrastructures à la CEEAC, Marie-Thérèse Chantal Ngakono.
Cette deuxième session s’inscrit dans la maîtrise d’ouvrage institutionnelle du Programme, avec pour objectif de faire le point sur l’état d’avancement du Programme, analyser son évolution et ses résultats à ce jour, notamment dans un contexte fortement marqué par la pandémie de Covid-19.
Selon le comité de suivi, "ces recommandations visent à améliorer la coordination interne et externe sur des sujets plus larges que ceux de la conservation de la nature. À savoir, la formation professionnelle, le statut des écogardes vis-à-vis de la fonction publique, l’écotourisme, la lutte contre les trafics, etc".
De plus, le comité a mis en évidence la nécessité de travailler sur la création de nouveaux modèles économiques durables pour la gestion des parcs et pour le centre de formation CEDAMM, à travers des partenariats publics-privés.
Hans NDONG MEBALE
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