LES sessions techniques dédiées à l'examen des projets d'infrastructures, d'habitat, d'équipements et de transports lancées la semaine dernière au siège de l'Agence nationale de la promotion des investissements (ANPI), à Libreville se sont achevées mardi
LES sessions techniques dédiées à l'examen des projets d'infrastructures, d'habitat, d'équipements et de transports lancées la semaine dernière au siège de l'Agence nationale de la promotion des investissements (ANPI), à Libreville se sont achevées mardi. Les échanges se sont déroulés entre les experts des départements ministériels concernés par les projets et les hommes d'affaires du Groupe Immo IPS.
Le Groupe Immo IPS, un consortium de sociétés auxquelles sont affiliées des entreprises de construction BTP et de réalisations d'ouvrages techniques et qui travaille avec des institutions financières, a séjourné à Libreville du 26 mai au 1er juin pour proposer une offre d'investissement. Les travaux ont donc porté sur l'examen des possibilités de financement et des conditions y relatives.
L'un des objectifs de ces assises, présidées par le ministre des Travaux publics, de l’Équipement et des Infrastructures, Léon Armel Bounda Balonzi, visait à circonscrire de manière claire le cadre de mise en place à court terme, d'un partenariat pour garantir une exécution épargnée de tout risque d'une situation contentieuse.
Au terme de ladite rencontre, la signature d'éventuels contrats sur des projets a été reportée. En août 2020, ce groupe avait exprimé au gouvernement sa volonté de financer la construction d’infrastructures dans notre pays. C’était une réponse à l'avis de manifestation d’intérêt qu'avait émis le gouvernement pour le financement intégral de projets dans les domaines d’infrastructures, d’équipement, d’habitat et de transports.
GM.NTOUTOUME-NDONG
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