Cette structure politique composée d'hommes et de femmes d'église, et qui s'était donnée pour mission ''d'œuvrer pour le retour de la paix au Gabon", a livré, hier, au cours d'un point-presse, l'essentiel des actions qu'elle a entreprises jusqu'à ce jour.
Ces hommes et femmes d'église ont, pour l'essentiel, opté pour une démarche qui consistait à rencontrer plusieurs personnalités gabonaises et autres responsables des organismes et institutions nationales et internationales. Notamment, le Médiateur de la République, Laure Olga Gondjout, le conseiller politique de la Délégation de l'Union européenne, Ignacio Sobrino Castello, la responsable des Affaires politiques du Bureau régional des Nations unies pour l'Afrique centrale (UNOCA), Edith Oyulu, et le candidat à la Présidentielle du 27 août 2016, Jean Ping. Sans compter leurs "différents rendez-vous manqués" avec le président de la Cour constitutionnelle et le Premier ministre, pour des raisons d'agenda chargé pour les deux personnalités.
« Nos échanges avec ces différents interlocuteurs furent très soutenus et porteurs d'espoir », a déclaré le président actif de cette structure, le prophète Régis Minko Biteghe. Reste que, « nonobstant cet état de choses, l'avenir de notre pays ne s'annonce pas du tout favorable », selon ces ministres de Dieu. Car, ont-ils dit, les visions et les prophéties reçues de Dieu laissent présager un ciel sombre au-dessus de notre pays.
SM
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