Bien qu'ayant subi en finale la loi des Égyptiens d'Al-Ahly, l'arrière gabonais et élément de base de l'AS Hammamet sort satisfait du tournoi continental, qui s'est disputé du 13 au 22 avril 2017 à Agadir (Maroc).
l'Union. Quel bilan faites-vous de votre participation à la 33e CACVC avec Hammamet ?Yannick Aubyang : Le bilan pour mon équipe et moi est positif et évolutif. Nous avons accompli un beau parcours durant cette quinzaine africaine, et rempli les objectifs du club qui souhaitait, au moins, conserver la médaille de bronze obtenue lors de la précédente édition. Et là, nous sommes arrivés en finale contre une très belle équipe, Al Ahly, certainement la meilleure équipe africaine cette année. Il est vrai que nous sommes déçus d'avoir perdu en finale, mais on peut mesurer notre progression et ce que nous avons accompli. Dans la continuité de ce que nous avions déjà réalisé cette année, avec une autre place de finaliste à la Coupe arabe des clubs obtenue il y a moins d'un mois.
En deux saisons seulement, vous êtes devenu un cadre du club. Qu'est-ce qui explique cette intégration rapide et quels vont être vos challenges pour la fin de saison en Tunisie ?
Effectivement, cela fait deux saisons que j'évolue à l'AS Hammamet. L'accueil et la confiance de mes coéquipiers et dirigeants m'ont permis de trouver une belle petite place au sein de groupe.
Propos recueillis par James AngeloLOUNDOU
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