Au cours de la conférence de presse qu'il a animée hier vendredi à son cabinet, au retour d'une rencontre internationale à l'Unesco (Paris), le ministre d'Etat chargé de la Culture, Alain-Claude Billie-By-Nze, a annoncé la mise en place d'une commission nationale multidisciplinaire pour statuer sur la question et exposer les pistes à explorer.
S'ACHEMINE-T-ON résolument vers le retour sur leurs terres des œuvres patrimoniales africaines en général ? Pour le Gabon, du moins, ce schéma commence à se dessiner. Car, de retour d'une conférence internationale de l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture) tenue à Paris (France), le 1er juin dernier, le ministre d'Etat chargé de la Culture, Alain-Claude Billie-By-Nze, a animé une conférence de presse à ce sujet, hier à son cabinet à Libreville.
Le membre du gouvernement a annoncé, par la même occasion, la mise en place prochaine d'une commission nationale multidisciplinaire chargée de statuer et proposer des pistes de travail sur la question.
Déportées depuis plus de 100 ans en Occident, exposées et proposées à des ventes publiques, ces œuvres s'arrachent habituellement à des millions de dollars, sans que les pays propriétaires, dont le Gabon, ne bénéficient de la moindre retombée de ces transactions.
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