Sous le thème ''Activités génératrices de revenus (AGR), source de développement'', l'Association des jeunes émergents volontaires (Ajev) du département du Komo-Océan, en collaboration avec les associations ''Tsine Retour aux sources'' et ''Concept Freedom'' ont organisé une conférence-débat samedi, à l'occasion de la Journée internationale des droits de la femme.
C'est autour d'une conférence-débat sur le thème '' Activités génératrices de revenus (AGR), source de développement'' que la section des Jeunes émergents volontaires (Ajev) du Komo-Océan a commémoré la 42e Journée internationale des droits de la femme, samedi dernier à Lalala, dans le 5e arrondissement de Libreville.
Il s'agissait de dégager les pistes susceptibles de mener au développement de cette circonscription en butte à d'énormes difficultés. En clair, quelles sont les actions à mener par les femmes du Komo-Océan en vue de leur autonomisation et contribuer au rayonnement économique de leur terroir ? D'entrée, Cyrille Edmond Aubame, président du Conseil départemental, et Glenn Edouard Bekale (coordinateur départemental de l'Ajev) ont loué l'intérêt de cette rencontre.
La coordinatrice communale de l'Ajev, Mirabelle Gningone, en mettant en exergue le riche potentiel que regorge le Komo-Océan qui tranche avec la paupérisation qui y sévit, a mis les pieds dans le plat : « Nous avons d'énormes richesses. Il y a la forêt où l'agriculture peut être florissante et aussi les grands cours d'eau où la pêche peut être pratiquée à bonne échelle. Or, nous constatons qu'en dépit de ces richesses, le département n'évolue pas. D'où notre rencontre pour voir quelles sont les activités que nous pouvons y développer, afin que nous les femmes, puissions avoir des revenus consistants. »
AVANCEES Sidonie-Flore Ouwe, ancienne procureure de la République et présidente de la plate-forme assoc...
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