La communauté internationale célèbre chaque 16 juin, et cela depuis 1991, la Journée de l’enfant africain (JEA). Le thème retenu cette année est "l’Éducation pour tous les enfants en Afrique : l’heure est venue".
La secrétaire générale adjointe du ministère de la Justice, Lydie Stéphanie Mamiaka, a indiqué, lors d'une allocution télévisée prononcée le 15 juin passé, que le préambule de la Charte africaine des droits et du bien-être de l’enfant montre aux pays africains la direction à suivre.
Il met "en lumière la responsabilité qui engage à la fois les parents et l’État dans la protection de l’enfant. C’est pourquoi, la célébration de cette journée doit nous conduire à conjuguer nos efforts pour que les droits des enfants, de nos enfants, bénéficient d’une réelle garantie", a-t-elle expliqué.
Conscients de leur responsabilité, le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, et son gouvernement se sont engagés à promouvoir et assurer le mieux-être des enfants et à respecter les engagements internationaux en la matière.
Par divers mécanismes et grâce aux instruments juridiques, les pouvoirs publics ont déjà mené des actions fortes en vue d’épargner les enfants vivant sur notre territoire des affres causés par les pesanteurs socio-économiques, culturels et traditionnels, par les catastrophes naturelles ou encore la faim et les handicaps multiformes.
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S.A.M.
Libreville/Gabon