mieux qu'une chanteuse de zouk pour décliner l'amour ? Qui mieux qu'Audrey, considérée par certains comme la princesse du zouk gabonais, pour le faire ? Le Casino Croisette de Libreville a vu juste en conviant l'auteure de " Elle" à sa dernière soirée thématique dédiée justement à l'amour autour d'un '' Showcase'', où les dames étaient à l'honneur.
L'artiste a paru sur scène parée aux couleurs de l'amour. Idem pour ses choristes et le reste de l'orchestre. La soirée, un 14 février, s'annonçait ''rouge passion''. Conjuguée aux roses que la direction de l'établissement a pris soin de distribuer à toutes les dames présentes. Et Audrey y a mis de son grain de sel pour coller au thème de la soirée.
La zoukeuse à la voix de rossignol, parfois debout, parfois assise sur un tabouret, a puisé dans le meilleur de son répertoire pour "imposer" à la salle ses douces mélodies. Et le miracle a opéré dans le public chaleureux et enthousiaste, qui le lui a bien rendu. Parfois, un couple montait sur la piste pour ravir la vedette aux musiciens. Certains n'hésitaient pas à la tentation, forte, de couvrir la jeune musicienne de quelques billets de banque. La communion est parfaite.
Quelques titres à succès extraits de son répertoire ou des grands classiques du zouk sont magistralement repris par l'assistance. Audrey ne boude point son plaisir : elle tend le micro, écoute et apprécie. Le célèbre refrain ('' Personne ne sait combien je t'aime...'') de son premier maxi single " La balle est dans ton camp" est repris de bout en bout par des voix féminines acquises.
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