C’est ce qui ressort des travaux menés durant 48 dernières heures par les spécialistes de la santé maternelle et infantile. Ils ont, à l'occasion des deuxièmes journées nationales mère-enfant ouvertes mercredi 12 juin au Centre hospitalier universitaire mère-enfant, axé leurs réflexions sur l'hypertension artérielle (HTA) et la grossesse.
Les activités relatives aux 2es journées nationales mère-enfant, ouvertes mercredi au Centre hospitalier universitaire mère-enfant (Fondation Jeanne-Ebori), se sont poursuivies hier. Guy Patrick Obiang Ndong, secrétaire général du ministère de la Santé, procédait hier, jeudi 13 juin, à l'ouverture officielle de ces assises qui réunissent les spécialistes de la santé maternelle et infantile autour du thème " HTA et grossesse : conséquences maternelles et néonatales".
La rencontre conjointement initiée par la Société gabonaise de pédiatrie (Sogaped) et la Société gabonaise de gynécologie obstétrique et de la reproduction (SGGOR), est une plateforme d'échanges, de partage d'expériences et de compétences sur la prise en charge des femmes enceintes et des nouveau-nés. L'édition de cette année a mis l'accent sur l'hypertension artérielle chez la femme enceinte et ses complications.
Occasion pour les experts de mettre à jour leurs connaissances sur les pathologies à risque au cours de la grossesse. Et, l'hypertension artérielle, qui constitue l'une d'elles, demeure une complication commune, avec une prévalence de 5 à 15 %.
Prissilia. M.MOUITY
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