C'est une recommandation d'un atelier tenu hier à Libreville au siège des Nations unies, et qui a réuni l'Onusida, l'Unesco et le ministère de l’Éducation nationale.
L'ORGANISATION des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) a organisé hier, à Libreville, à la maison des Nations unies, un atelier sur l'élaboration du profil de sortie du primaire et de l’Ecole normale des instituteurs (ENI). Il s'agit, plus exactement, de la production de contenus pédagogiques des enseignements en santé sexuelle et reproductive (SSR).
Grâce au Programme d’éducation à la santé sexuelle et reproductive (ESSR), les jeunes peuvent prendre des décisions éclairées sur leur sexualité et leur santé, acquérir des connaissances pratiques et adopter des comportements plus responsables. Ce d'autant plus que des études ont révélé que la majorité des adolescents n’ont pas suffisamment de connaissances pour prendre des décisions susceptibles de bouleverser leur vie en matière de santé sexuelle et reproductive, en toute responsabilité.
En présence du chef de bureau Unesco Vincenzo Fazzino, de la directrice Onusida Françoise Ndayishimiye et du directeur de cabinet du ministre de l'Éducation nationale, M. Obori, les experts ont planché sur les questions relatives à l'ESSR.
R.H.A
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