Ce sont 6.000 personnes (selon les organisateurs) qui ont pris d'assaut, vendredi dernier, les travées du palais des sports de Libreville pour assister à la 27e édition de la Grande nuit des arts martiaux.
D'entrée, le président de l'Association gabonaise de karaté do (Agakado) JKA, Me Manvoumbi Mombo Wapatcha (7e dan), a tenu à exprimer sa gratitude à l'endroit de tous ceux qui ont œuvré à l'effectivité de l'édition 2018.
« Nous voulons juste déclarer ouverte la 27 édition de la Grande nuit des arts martiaux, et souhaiter que la fête soit belle », a lancé le patron des Sports gabonais.
Me Imura takenori (8e dan), après avoir remis son parchemin à Me Serge Engouang, pour avoir pris part à un stage de perfectionnement avec succès au Japon, a ouvert le bal marquant la série des démonstrations. Laquelle a vu la participation tardive des arts martiaux locaux (lutte traditionnelle, boxe anglaise, karaté, kung fu Shaolin, judo, kick boxing/full contact, qwankido, tonfa/self, wushu). Et internationaux (le taekwondo avec le club Andalouss du Maroc, le karaté avec les Françaises Jessica, Sabrina Bull et Sonia, le body building avec Fammoe Erve).
La soirée a été plus belle avec les Marocains du club Andalouss de taekwondo qui ont enflammé le palais des sports. Une prestation qui prouve que leur titre de champion d'Afrique, meilleure équipe de démonstration spectaculaire de techniques de jambes, n'est pas usurpé.
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