Au terme de cet événement organisé pour la deuxième année consécutive dans notre pays, les cinéphiles se sont réjouis des différents axes de la programmation, ainsi que de la nature, de la qualité et du caractère quasi-actuel des œuvres présentées.
C'EST par la projection du film "Wulu" du Franco-Sénégalais Daouda Coulibaly que le rideau est tombé, samedi dernier, sur la deuxième édition de la Fête du cinéma, organisée à l'Institut français de Libreville, en collaboration avec l'Institut gabonais de l'image et du son (lGIS). Depuis le 28 juin, toute une panoplie d’œuvres cinématographiques d'ici et d'ailleurs meublaient la programmation de cet événement annuel.
De "Le roi et l'oiseau" de Paul Grimault (1979) à "L'armée des ombres" de Jean-Pierre Melville (1969), en passant par "La source" de Dereck Kassa (2015), "L'inhumaine" de Marcel L'Herbier (1924), "Demain tout commence" de Hugo Gélin (2016) ou encore "Les couilles de l'éléphant" d'Henri-Joseph Koumba Bididi (2002), chaque cinéphile avait pu trouver son compte dans cette diversité de productions proposées. Ces amoureux du 7e art n'ont, d'ailleurs, pas manqué d'apprécier les différents axes de la programmation 2017, ainsi que la nature, la qualité et le caractère quasi-actuel des œuvres présentées.
Frédéric Serge LONG
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