Toutes les expressions artistiques culturelles du terroir ont été à l'honneur de ce grand rendez-vous culturel qui marquait son retour après une longue éclipse.
EN tout cas, les absents ont eu tort de n'avoir pas effectué le déplacement de l'avenue Jean-Paul-II et ses alentours, le week-end écoulé. Ils ont, en effet, raté l'occasion de se plonger dans la fièvre de la Fête des cultures, qui marquait son retour, dans une version rénovée, après une éclipse de cinq ans. Pour la circonstance, tout était prévu pour assurer à chaque Librevillois qui s'y était rendu, détente, bonne humeur et moments inoubliables. L'effet escompté n'a d'ailleurs pas tardé à se manifester, car dès les premières heures de l'après-midi du vendredi dernier, plusieurs personnes s'étaient déjà rassemblées pour vivre le coup d'envoi.
Pour leur plaisir, il y avait, réunis là, plusieurs sites d'activités et un déploiement d'expressions culturelles multiformes. Notamment, la scène principale en face de la BEAC pour les concerts et les concours, école publique Martine-Oulabou (village des enfants), immeuble de l’Économie forestière (contes, poésies, slam, cinéma), Maison Georges-Rawiri (arts plastiques), immeuble Arambo (théâtre, conférences), conservatoire de musique à Louis (veillée de "ngozé" avec la Fondation Stéphanie Djedje), et la ruelle gastronomique (exposition des recettes culinaires de chez nous).
Frédéric Serge LONG
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon