La nouvelle responsable pays de l'Onusida, Françoise Ndayishimiye, a fait, hier, le point avec la maire de Libreville, Rose Christiane Ossouka Raponda, sur la lutte contre le VIH-Sida.
PARCE QUE la conjugaison des efforts est une exigence dans la lutte contre le VIH-Sida, elle engage les efforts conjoints des institutions. Ensemble, elles doivent mettre en place des politiques de lutte commune au profit des populations. Dans sa bataille contre la maladie, l’Onu-Sida s'est engagée avec les mairies gabonaises sur diverses activités. C'est autour de ces points que l'édile de la capitale, Rose Christiane Ossouka Raponda, s'est entretenue, hier, avec la nouvelle responsable de cet organisme onusien, Françoise Ndayishimiye.
Cette rencontre aura pété l'occasion de faire le point sur certaines activités entamées il y a quelques mois. Parmi celles-ci, figurent les campagnes de sensibilisation à l'intérieur du pays avec le concours des mairies de chaque localité. À celles-ci, s'ajoute le lancement de la formation des agents de santé communautaire.
“La mairie de Libreville s'est engagée dans la lutte en mettant en place des agents de santé communautaire qui vont être les liens entre les médecins et les patients dans les six arrondissements de Libreville”, a indiqué Françoise Ndayishimiye à l'issue de l'entrevue.
R.H.A
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon Culture & Société Gabon