La cérémonie de remise de diplômes a été présidée, samedi dernier, dans l’amphithéâtre de l’établissement, par le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba.
LE 21 avril 2018 ne sera jamais un jour comme les autres pour l’Ecole des mines et de la métallurgie de Moanda du Gabon (E3MG). Il marque, en effet, la sortie de la première promotion de cet établissement, baptisée Jacques Libizangomo Joumas, du nom du premier ingénieur gabonais, conformément à une décision de son Conseil d’administration.
Celle-ci compte 27 impétrants dont un Camerounais, sur les 29 admis à l’entrée, il y a un an et demi, a rappelé Étienne Mvoula, le directeur général de l’E3MG. Dans le détail, elle compte 8 étudiants dans la filière "Ingénieur de spécialisation" avec 4 mentions bien, 10 en "Licence mines-métallurgie" avec une mention bien et 9 en "Licence prospection minière" une mention bien également.
Une satisfaction pour le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba qui, présent à cette occasion, s’est souvenu de ce que cette école fait partie des mesures importantes qu’il avait prises, le 11 septembre 2011, lors de sa visite au stade Henri-Sylvoz de Moanda, dans le cadre du conseil des ministres délocalisé dans la province du Haut-Ogooué. Pour matérialiser cette annonce, le président de la République avait posé, le 12 octobre 2012, la première pierre marquant le lancement des travaux de construction de l’E3MG.
Une fierté aussi pour cette première cuvée, après 18 mois d’une formation qui n’aurait donc pas été possible sans la volonté du numéro un gabonais. Mais, également sans le soutien de la Compagnie minière du Gabon (Comilog), filiale du groupe français Eramet. Ce qui atteste de la réussite d’un partenariat public-privé.
Mais que ...
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